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La loi et l'évangile - Oswald Chambers
Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. (Jacques 2:1
La loi morale ne nous considère pas du tout comme de faibles créatures humaines, elle ne tient aucun compte de notre hérédité ou de nos infirmités; elle exige de nous la perfection. La loi morale ne change pas en faveur du plus noble ou du plus faible des hommes, elle est la même constamment et pour toujours. Établie par Dieu, elle ne se fait pas faible pour les faibles, elle n'excuse pas nos insuffisances, elle reste immuable pour le temps et pour l'éternité. Si nous ne nous en rendons pas compte, c'est parce que nous sommes inconscients, mais dès que nous revenons à la vie, notre situation est tragique. "Pour moi, dit l'apôtre Paul, étant autrefois sans loi, je vivais; mais quand le commandement vint, le péché reprit vie, et moi je mourus." (Romains 7:9) Quand nous comprenons cela, l'Esprit de Dieu nous convainc de péché. Aussi longtemps que nous n'avons pas fait cette expérience, nous ne réalisons pas qu'il n'y a aucun espoir, la croix de Jésus-Christ est pour nous une comédie. La conviction de péché nous fait sentir la terrible contrainte de la loi, et produit le désespoir. Je me sens, comme Paul, "vendu et asservi au péché". Le pécheur endurci que je suis se sent trop coupable pour que Dieu puisse le pardonner. La seule voie qui s'ouvre vers une réconciliation avec Dieu, c'est la mort de Jésus-Christ. Il faut que je me libère de l'idée persistante que je pourrais me mettre en règle avec Dieu grâce à mon obéissance. Car qui de nous est capable d'obéir à Dieu parfaitement ?
Nous comprenons d'autant mieux le pouvoir de la loi morale, que nous sommes laissés libres de choisir. Dieu ne nous contraint jamais. Parfois, nous aimerions qu'il nous pousse à agir, et d'autres fois nous souhaiterions qu'il nous laisse tranquilles. Quand la volonté de Dieu règne, toute contrainte est inutile.
Par la grâce de Dieu, je suis ce que je suis - Oswald Chambers
... et sa grâce envers moi n'a pas été vaine. (1 Corinthiens 15:1
Nos lamentations au sujet de notre incompétence sont une insulte à notre Créateur, car nous l'accusons de ne pas s'occuper de nous. Prenez l'habitude d'examiner du point de vue spirituel tous ces propos qui paraissent pleins de modestie, et vous serez stupéfait de constater combien ils sont impertinents à l'égard de Dieu. "Je ne voudrais pas dire, certes, que j'ai atteint la sainteté; je ne suis pas un saint !" Dire cela devant Dieu, signifie : "Seigneur il est tout à fait impossible que tu me sauves et me sanctifies, je n'ai pas eu de chance; il me manque tellement de choses dans mon corps et dans mon esprit; non, Seigneur, ce n'est pas possible !" Cela peut paraître une attitude humble aux yeux des hommes, mais c'est mépriser Dieu ouvertement.
D'autre part, ce qui sera humble aux yeux de Dieu paraîtra peut-être orgueilleux aux yeux des hommes. Si vous dites : "Merci, Seigneur, par ta grâce, je sais que je suis sauvé et sanctifié", c'est pour Dieu la plus parfaite humilité, puisque vous vous êtes totalement abandonné à Lui, et que vous croyez à Sa parole. Ne vous tourmentez jamais pour savoir si ce que vous dites aux gens donne l'impression de l'humilité, ou non, mais soyez humble devant Dieu, et laissez-lui être tout en vous.
Une seule chose est importante pour vous, c'est votre communion personnelle avec votre Rédempteur et Sauveur. Laissez aller tout le reste, mais conservez à tout prix cette relation essentielle, et Dieu accomplira ses desseins par vous. Car une seule vie humaine peut avoir pour Dieu une valeur incalculable dans l'accomplissement de ses desseins. Et votre vie peut être cette vie-là.
La valeur unique de la personne de Jésus - Oswald Chambers
L'Esprit de vérité... me glorifiera. (Jean 16:14)
Les mouvements piétistes d'aujourd'hui n'ont plus rien de la rude réalité du Nouveau Testament. La mort de Jésus-Christ n'a pour eux rien d'indispensable; tout ce qu'ils recherchent, c'est une atmosphère pieuse, de prière et de dévotion. Cette conception de l'expérience religieuse n'a rien de surnaturel ni de miraculeux et n'a rien de commun avec les souffrances de Jésus; elle n'est pas marquée du sang de l'Agneau et ne porte pas le sceau du Saint-Esprit. Elle ne laisse pas cette empreinte, qui fait dire aux hommes: "C'est bien l'oeuvre du Dieu Tout-Puissant." Or c'est cela, et cela seul, que nous révèle le Nouveau Testament.
L'expérience chrétienne normale, selon le Nouveau Testament, c'est l'attachement personnel, exclusif, à la personne de Jésus-Christ. Toute autre forme d'expérience chrétienne, ou prétendue telle, détachée de la personne de Jésus n'a de chrétien que le nom : il n'y a point de régénération, ni de nouvelle naissance et point d'entrée dans le Royaume de Christ, si ce n'est la pensée que Jésus est notre Modèle. Or dans le Nouveau Testament, Jésus est le Sauveur bien avant d'être le Modèle. Aujourd'hui, il est simplement le fondateur d'une religion, un type de perfection. S'il est bien cela, il est pourtant infiniment plus ! Il est le salut lui-même. Il est la Bonne Nouvelle de Dieu.
Jésus promet : "Quand lui, l'Esprit de vérité, sera venu... il me glorifiera." Quand je crois à la Révélation contenue dans le Nouveau Testament, je reçois de Dieu le don du Saint-Esprit qui réalise en moi ce que Jésus a dit et mis en oeuvre, pour moi, sur la croix.
Le bienfait du dénuement - Oswald Chambers
... gratuitement justifiés par sa grâce. (Romains 3:24)
La Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu éveille fréquemment une ardente aspiration mais en même temps une profonde répulsion, parce que le message qu'elle nous apporte nous irrite. L'homme est fier de pouvoir donner tant et plus; mais recevoir comme un mendiant, c'est autre chose. "Je donnerai ma vie comme martyr s'il le faut, je me dévouerai tout entier, je ferai n'importe quoi, mais ne m'humiliez pas en me mettant sur le même pied que le plus grand des pécheurs qui n'a qu'à accepter le don du salut par Jésus-Christ."
Il faut que nous comprenions que nous ne pouvons rien mériter ou obtenir de Dieu par nos efforts. Il faut le recevoir comme un cadeau gratuit, ou bien nous en passer. Le plus grand bienfait spirituel, c'est de reconnaître notre dénuement. Jusqu'à ce que nous en arrivions là, le Seigneur ne peut rien pour nous. Il ne peut intervenir tant que nous croyons pouvoir nous suffire à nous-mêmes. C'est par la porte du dénuement que nous entrons dans son Royaume. Tant que nous croyons être riches, tant que nous possédons quelque capital d'orgueil, quelque indépendance, Dieu ne peut rien pour nous. C'est seulement lorsque nous avons faim de vie spirituelle, que nous recevons le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit nous communique comme un don la nature divine; il fait vivre en nous la vie puissante de Jésus, qui, pénétrant notre âme, nous élève jusqu'à sa hauteur, dans le Royaume de Jésus (Jean 3:5).
Consacrez à Dieu votre énergie sprituelle - Oswald Chambers
... la Croix de Notre Seigneur Jésus-Christ... par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde. (Galates 6:14)
Concentrer ma pensée sur la Croix du Christ, ce n'est pas devenir un de ces piétistes préoccupés uniquement de leur propre sainteté. C'est au contraire me préoccuper toujours davantage de la cause de Christ. Le Seigneur n'a été ni un reclus, ni un ascète. Il ne s'est pas coupé de la société mais, intérieurement, il en était détaché. Sans être distant, il vivait néanmoins dans une autre sphère. Son mode de vie était celui de chacun, aussi les gens religieux de son temps l'appelaient-ils mangeur et buveur. Cependant rien n'a pu faire obstacle à l'entière consécration de son énergie spirituelle.
Une contrefaçon de la consécration consiste à chercher à mettre en réserve de l'énergie spirituelle, dans le but de s'en servir plus tard, mais c'est là une erreur fatale. Pour un grand nombre de chrétiens, le Saint-Esprit les a affranchis de leur pêché, mais il n'y a chez eux ni libération, ni épanouissement. Le genre de vie religieuse que nous rencontrons si souvent aujourd'hui n'a rien de commun avec la robuste sainteté de Jésus-Christ. "Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal." Nous devons vivre dans le monde, sans lui appartenir.
Employons notre énergie spirituelle au service de Dieu et de notre prochain. La consécration c'est notre part, la sanctification, c'est l'affaire de Dieu, préoccupons-nous donc en premier lieu des intérêts de Dieu. Lorsque se pose à nous un problème difficile, demandons-nous ce qui peut promouvoir la cause de Jésus-Christ.
Emmanuel Mbula Katindi
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NELSON DIRBONG FREEMAN
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Edoh Emmanuel akakpo
Thanks"
✍?
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