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Postingan ini telah menerima banyak masukan dari pengguna karena membosankan dan terlalu berulang. Moi d'une part... Lui d'autre part... - Oswald Chambers
Moi d'une part, je vous immerge dans l'eau pour votre métamorphose, Lui d'autre part,... vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu. (Matthieu 3:11)
Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai pu dire: "Moi d'une part..., mais Lui d'autre part... ?" Il le faut pourtant pour que je puisse comprendre ce qu'est le baptême du Saint-Esprit. "Moi d'une part..." je suis au bout de mes capacités, je suis devant l'impossible. "Mais Lui d'autre part..." il entre en scène à ce moment, il fait ce que Lui seul peut faire. Suis-je prêt pour Sa Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas déblayé le chemin devant lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en moi, le bien comme le mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser projeter La Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi. Là où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans reproche, il s'éloigne.
La métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que je ne suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui porter ses sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou subsiste-t-il en moi comme une vague idée que je puis être bon à quelque chose ? Tant que ma métamorphose de la pensée n'est pas radicale, Dieu ne peut pas entrer dans ma vie.
"Lui d'autre part vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu." Jean ne parle pas d'une expérience, d'une impression que nous éprouverions, mais d'une action de Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule impression consciente de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est celle de leur absolue indignité.
"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais, bon à rien. "Lui d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit. Laissez-Le seulement agir en vous.
Le ministère des humbles - Oswald Chambers
Heureux les mendiants d'Esprit. (Matthieu 5:3.)
Le Nouveau Testament met en valeur des choses qui, selon nos critères humains, ne comptent pas. "Heureux les pauvres en esprit", littéralement : "heureux les mendiants", - le rebut de la société. La prédication, aujourd'hui, vante la volonté, la beauté du caractère, ce que tout le monde remarque et admire. La phrase que nous entendons si souvent : "Décidez-vous pour Christ", met l'accent sur un sentiment auquel notre Seigneur ne s'est jamais fié. Il ne nous demande jamais de nous décider pour lui, mais de nous abandonner à lui, ce qui est tout différent. A la base du royaume de Jésus-Christ, il y a la beauté inconsciente des humbles. Ce qui fait que je suis du nombre des heureux, c'est ma pauvreté. Si je me rends compte que je n'ai ni force de volonté, ni noblesse de caractère, Jésus me proclame "heureux", car c'est ma pauvreté qui m'ouvre l'accès de son Royaume. Je peux y entrer non grâce à mes vertus, mais grâce à mon indigence.
La beauté spirituelle qui glorifie Dieu est une chose dont celui qui la possède ne se rend même pas compte. Celui qui a conscience d'exercer une influence est un prétentieux, étranger à l'esprit chrétien. Quand je dis : "Qui sait si je suis utile !", ma vie spirituelle perd aussitôt sa fraîcheur. "Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein." Si j'examine et analyse cette eau vive, je perds la bénédiction du Seigneur.
Qui sont ceux qui ont exercé sur nous la plus profonde influence ? Non pas ceux qui en avaient conscience, mais ceux qui ne s'en rendaient pas compte. Le chrétien qui a de la valeur n'en a pas conscience; celui qui pense avoir de la valeur perd cette pure et simple beauté qui révèle la présence de Jésus. Jésus se révèle à nous par ceux qui sont les plus humbles.
Plénitude - Oswald Chambers
Je vous donnerai du Repos. (Matthieu 11:28)
Chaque fois que quelque chose vient affaiblir votre communion avec Jésus-Christ, tournez-vous aussitôt vers Lui, et demandez-lui de vous donner Sa sérénité. Ne tolérez pas que quoi que ce soit en vous, trouble cette paix. Traitez tout élément de discorde qui s'insinue entre Jésus et vous, comme une chose à combattre et non à supporter. Demandez au Seigneur de mettre Sa nature en vous, et votre propre nature disparaîtra : Il sera tout en vous. La préoccupation de soi engendre insensiblement la pitié pour soi-même, qui vient de Satan. "On ne me comprend pas ! Sur ce point-là, on me doit des excuses ! Il faut que ce soit tiré au clair !" Laissez donc les autres tranquilles, et demandez au Seigneur de mettre en vous la nature du Christ. Il vous soutiendra, jusqu'à ce que vous soyez rempli de Sa plénitude.
La vie chrétienne parfaite est celle de l'enfant. Quand je me préoccupe trop de ce qui se passe en moi, cela va mal. C'est le malade qui connaît la valeur de la santé. L'enfant de Dieu ne se préoccupe pas de savoir ce qu'est la volonté de Dieu, car il est lui-même dans la volonté de Dieu. Quand nous nous écartons si peu que ce soit de la volonté de Dieu, nous nous mettons à lui dire : "Quelle est ta volonté ?" Un enfant de Dieu ne prie pas pour que Dieu lui démontre qu'il répond à la prière; il est sans inquiétude, sachant que Dieu répond toujours.
En essayant de combattre notre égoïsme par les méthodes dictées par le bon sens, nous le développons au contraire. Jésus dit : "Venez à moi, et je vous donnerai du repos"; c'est-à-dire : la nature de Christ prendra la place de notre propre nature. Partout où Jésus passe, il apporte le repos; le repos d'une activité parfaite, d'où tout amour de soi-même est absent.
Etes-vous préoccupé de vous-même ? - Oswald Chambers
Venez à moi. (Matthieu 11:28)
Dieu veut que notre vie ait pour centre Jésus-Christ; mais nous subissons, par moments, des pressions extérieures, et nous retombons alors dans l'introspection, dont nous pensions être délivrés. Cette préoccupation de nous-mêmes est la première chose qui vient troubler la plénitude de notre vie en Dieu, et elle provoque une lutte continuelle. La préoccupation de nous-mêmes n'est pas un péché; elle peut résulter d'un tempérament nerveux, ou du choc inopiné de circonstances nouvelles. La volonté de Dieu, c'est que nous soyons parfaits en lui (parfaits = complets, complétés... par Lui). Tout ce qui trouble notre sérénité doit être corrigé, et le remède n'est pas d'ignorer le mal, mais d'aller à Jésus. Si nous allons à lui, et que nous lui demandons de remplacer en nous la préoccupation de nous-mêmes par la recherche de Sa Présence, Il le fera, jusqu'à ce que nous ayons appris à demeurer en lui .
Ne consentez jamais à ce que votre vie en Christ soit diminuée, ou partagée, sans y porter remède. Ne laissez rien venir entre le Christ et vous, ni vos amis, ni vos circonstances. Ne laissez rien perdre, rien échapper de votre communion directe avec lui. Vous risqueriez de retomber dans la préoccupation de vous-même. Rien n'est plus important que de rester honnête avec soi-même dans le domaine spirituel. Le remède souverain est tout simple : "Venez à moi." Notre vraie valeur, sur le plan intellectuel, moral et spirituel, est révélée par ces quelques mots. Si quelque chose en nous n'est pas vrai, nous sommes tentés de discuter plutôt que d'aller simplement à Jésus.
Muet de tristesse - Oswald Chambers
Lorsqu'il entendit ces paroles, il devint tout triste, car il était très riche. (Luc 18:23)
Le jeune homme riche s'en alla muet de tristesse; il n'avait rien à dire. Ce que Jésus lui avait dit était clair : aucun doute possible. Cela produisit en lui une tristesse si grande qu'il était sans paroles. Etes-vous jamais passé par là ? Dieu vous a-t-il parlé sévèrement au sujet de ce qui fait votre richesse : vos facultés, vos dons naturels, une amitié personnelle, une affection ? Avez-vous été muet de tristesse ? Le Seigneur ne vous pressera pas, ne plaidera pas sa cause, mais à chaque occasion, il vous répètera simplement : "Si tu veux vraiment venir, tu connais les conditions."
"Vends tout ce que tu as..." Dépouillez-vous moralement devant Dieu de tous vos biens, et cela fait, tel que vous êtes donnez-vous à Dieu. Il faut pour cela livrer combat à soi-même, pour soumettre notre volonté à celle de Dieu. Etes-vous plus attaché à votre propre idée des exigences de Jésus, qu'à lui-même ? Une telle disposition intérieure obligera Jésus à vous adresser une parole dure, qui produira en vous une grande tristesse. Ce que Jésus dit est pénible et ne peut être facilement accepté sauf par ceux qui ont reçu Sa Nature. N'atténuez jamais la sévérité d'une parole de Jésus.
Je peux mettre ma richesse en bien des sentiments divers : dans l'orgueil d'être pauvre, de n'être rien, ou bien d'être quelqu'un. Chacune de ces fausses richesses m'empêchera d'être le disciple de Jésus. Il faut que je me dépouille de tout, même de l'orgueil du dépouillement. Le découragement n'est qu'un égoïsme déçu. La fierté de me dévouer pour Jésus peut être une forme d'égoïsme.
Emmanuel Mbula Katindi
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NELSON DIRBONG FREEMAN
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Edoh Emmanuel akakpo
Thanks"
✍?
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